Deux jeunes écrivains publient un petit livre de guerre, savant et léger, érudit et joyeux : un véritable manuel de savoir-vivre.
Une lettre de Maurice Clavel. Le Musée de Philippe Sollers. Le nouveau paradoxe du comédien. Hobbesiens ou kantiens ? Villepin, l’anti-Kojève. Guy Konopnicki et la gauche en folie. Quand Hemingway désavoue Orson Welles. Yannick Haenel parmi les avalanches. Est-il encore permis de défendre Israël ? Clémence Boulouque et son livre-deuil. Dernières paroles de Françoise Giroud. Le risque d’avoir un jour un biographe.
En publiant « De la guerre en philosophie », Bernard-Henri Lévy défend son travail et son statut de penseur.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Platon et Sartre. Kundera et les écrivains contemporains. La philosophie : un art de la guerre. La littérature : un art du camouflage.
Sainte Edith Stein. Avec la presse algérienne. Infamie d’Augusto Pinochet. D’après Lautréamont, Ligne de risque.
Au Musée du Prado à Madrid, Bernard-Henri Lévy rend hommage à Jorge Semprún. L’occasion pour le philosophe de dire son admiration pour l’écrivain et l’homme d’action qui est « l’esprit européen incarné ».
À la Villa Médicis de Rome, en avril 2009, Bernard-Henri Lévy intervient lors du colloque franco-italien « Pensare la crisi ». Il évoque un tremblement de terre dans les Abruzzes, et tire les leçons de ce désastre : le caractère mafieux de l’économie contemporaine en Italie.
L’auteur-acteur, qui a achevé la tournée européenne de sa pièce « Looking for Europe », fait la revue de l’actualité politique, internationale et éditoriale.
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